SkyscraperPage Forum - Marché des bureaux

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Marché des bureaux | Office space market

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Classes of Office Buildings

Not all office space is equal, which is why a class system exists to categorize the age, amenities, aesthetics and general infrastructure of buildings. These classes are used to determine the space’s price, though many experts argue that the classifications are subjective.

Class A:
The highest-quality space on the market is considered Class A. These spaces are generally newly constructed, and have been outfitted with top-of-the-line fixtures, amenities and systems. Class A buildings are usually aesthetically pleasing, as they reside in high-visibility locations, such as a metropolitan’s central business district. These spaces are normally maintained by reputable property management companies that keep them looking impeccable.

Height is another common characteristic of Class A buildings. Many high-rises are considered Class A buildings, and the offices inside these structures tend to have higher ceilings as well. A large central lobby is also typical in such superior spaces.

Class A rates are typically higher than the city’s average rent, and tenant concessions are rare. This is because premier Class A space is competitively sought-after by some of the most well-known and largest firms in the country. These spaces are popular among banking, real estate and law firms.

Class B
A Class B property is your average office space. These buildings don’t usually contain the same high-quality fixtures, architecture and lobbies as Class A space, but they are generally nice buildings with fully functional facilities.

Their locations, building systems and property managers are described as average to above average. Therefore, Class B space tends to command average market rent. The majority of Class B buildings are less than four stories tall, and are often found in the suburbs or on the outskirts of large financial districts.

Another consideration that separates Class A and B buildings is age. Many Class B buildings are a little older, and may be experiencing minimal deterioration or breakdown. Some buildings start out with a Class A grade, but are downgraded after 10 years or so once signs of wear and tear become apparent.

Class C
These are the poorest quality structures on the market. They tend to be located in the least desirable office districts, and are usually in need of major repairs and renovations. This is likely due to the building’s age, as Class C properties are more than 20 years old.

Some Class C properties remain occupied, commanding lower rental rates and attracting tenants with smaller operations who cannot afford nicer spaces or who do not need to reside in a central hub. Other Class C buildings are sold as rehabilitation or redevelopment opportunities.

With some improvements and repairs a Class C space can be upgraded to Class B, though it is unlikely to achieve Class A status, especially considering its location and aged infrastructure.

Source: http://realestate.about.com/od/comme...ce_classes.htm

Outch Calgary. -782k ?

2nd chart Class A y-t-d, + 83,7k for Montréal. good.

Intéressant merci pour les tableaux !

Quote:

Originally Posted by GreaterMontréal (Post 6408386)

2nd chart Class A y-t-d, + 83,7k for Montréal. good.

Pas mal. Mais on peut faire mieux.

Le taux de vacance au centre-ville est très bas. C'est très bon.

Quote:

Les banques Nationale et Royale quitteront le complexe Desjardins

Publié à 14:37, mis à jour à 15:13
Par Dominique Froment

Deux des locataires de la première heure du Complexe Desjardins au centre-ville de Montréal devront se relocaliser. Desjardins leur a en effet fait savoir que la coopérative a besoin de l’espace pour ses propres besoins.

La haute direction de la Banque Nationale et de RBC Banque Royale a été informée il y a plus de deux ans que leur bail respectif ne serait pas renouvelé. Mais l’information n’a pas beaucoup circulé puisque c’est Les Affaires qui a appris la nouvelle aux deux porte-parole.

«Nous sommes au Complexe Desjardins depuis son ouverture (ndlr : 1975). Nous avons actuellement un bail de 10 ans sans option de renouvellement qui vient à échéance en avril 2015, a indiqué Claude Breton, directeur principal, relations publiques, de la Banque Nationale. Nous ne savons pas encore où nous allons déménager, mais ce ne sera pas très loin du Complexe Desjardins pour ne pas obliger nos clients à se déplacer trop loin.»

Pour sa part, RBC quittera le Complexe Desjardins au printemps 2016 pour emménager au 350 de la rue Sainte-Catherine ouest, coin de Bleury, à un jet de pierre du Complexe Desjardins.

«RBC procède, depuis 2012, au remplacement graduel de ses succursales par des boutiques de services financiers où la prestation de services met l’accent sur l’accueil, l’accompagnement des clients et les conseils qui leur sont offerts par des professionnels des services bancaires, du placement et de la planification financière. Nous voyons donc ce déménagement comme une occasion d’établir au centre-ville de Montréal l’une de ces boutiques», raconte Raymond Chouinard, directeur, Médias et relations publiques, Direction du Québec, de RBC Banque Royale.

Selon André Chapleau, conseiller stratégique en relations de presse chez Desjardins, le départ de la BNC et de la RBC permettra au gestionnaire du complexe de récupérer 21 000 pieds carrés dont l’institution financière a besoin «pour son propre développement». M. Chapleau assure qu’aucun autre locataire n’est prévu quitter le Complexe Desjardins.

http://www.lesaffaires.com/secteurs-...jardins/565499

Quote:

Publié le 22 janvier 2014 à 08h13 | Mis à jour à 08h13
Détérioration du marché des bureaux au centre-ville

André Dubuc
La Presse

Le taux d'inoccupation des bureaux au centre-ville de Montréal devrait continuer à augmenter jusqu'à atteindre la barre des 9-10% en 2015, en raison de l'offre abondante de locaux offerts en sous-location et de l'arrivée de trois nouvelles tours de bureaux au cours de la période.

À la fin de 2013, le taux d'inoccupation a atteint 8,7% au centre-ville, «un niveau qu'on n'a pas vu au centre-ville de Montréal depuis sept ou huit ans. C'est d'ailleurs un taux plus élevé que lors de la récession de 2008-2009», a souligné Alexandre Sieber, premier vice-président et directeur général de l'agence immobilière CBRE à Montréal. Il prenait la parole dans le cadre d'un déjeuner-causerie organisé par l'Institut de développement urbain du Québec portant sur les perspectives du marché immobilier en 2014.

Toutefois, les bureaux du centre-ville recommenceront à se remplir graduellement dès 2015 et au cours des années suivantes à la faveur d'une meilleure performance économique. Le taux d'inoccupation baissera alors à un niveau près de sa moyenne historique.

[...]

http://affaires.lapresse.ca/economie...8_accueil_POS4

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Originally Posted by MTLskyline (Post 6416482)

Les banques Nationale et Royale quitteront le complexe Desjardins
http://www.lesaffaires.com/secteurs-...jardins/565499

I see this as a non-issue, really. 21,000 sq feet is a really negligible number in this context. In fact, it makes me wonder why RBC and BNC even bothered to have offices in CDJ when they both operate out of large office towers in the business district.

These are local branches mostly for business deposits, not office space supporting head office operations.